17/08/2007
Angelus ex Machina, 7 : la parabole du Marquis de Bolibar
15/08/2007
Angelus ex Machina, 6 : de la beauté, terrifiante comme l'ange
31/07/2007
Revue de presse de La Littérature à contre-nuit aux éditions Sulliver
25/07/2007
Une vieille maîtresse de Jules Barbey d’Aurevilly, par Germain Souchet
22/07/2007
Lettre(s) pour emmerder les catholiques progressistes
20/07/2007
Carcassonne de Lord Dunsany
12/07/2007
L’interview de Léon Bloy par Louis Vauxcelles (1904), par Émile Van Balberghe
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08/07/2007
Journal d'une lecture, 4 : Le Tunnel de William H. Gass
28/06/2007
Journal d'une lecture, 3 : Le Tunnel de William H. Gass
22/06/2007
Journal d'une lecture, 2 : Le Tunnel de William H. Gass
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20/06/2007
La nuit chez Maud de George Steiner
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18/06/2007
Le journal de Marie Lenéru
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10/06/2007
Journal d'une lecture, 1 : Le Tunnel de William H. Gass
06/06/2007
Apologia pro Vita Kurtzii, 6 : Exterminate all the brutes !
15/05/2007
Péguy de combat : entretien avec Rémi Soulié
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12/05/2007
Joris-Karl Huysmans, le forçat de l'écriture
09/05/2007
La littérature, pour quoi faire ? d'Antoine Compagnon
03/05/2007
Léon Bloy et l'attente de l'Apocalypse
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17/04/2007
Charles Péguy selon Jean-Noël Dumont : l'axe de détresse
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13/04/2007
Georges Bernanos selon Monique Gosselin-Noat : devenir «militant de l'éternel» en quatre leçons
07/04/2007
Le chrétien et l'histoire de Theodor Haecker
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01/04/2007
Le Grand Large du soir de Julien Green
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30/03/2007
Entretien avec Éric Bénier-Bürckel, deuxième partie
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29/03/2007
La Critique meurt jeune : premières critiques et non-critiques

«La critique littéraire au Nouvel Obs aurait pu retrouver sa crédibilité... si elle s'était débarrassée d'un Jean-Louis Ezine, entre autres...»
Propos apocryphe attribué à Jérôme Garcin.
[Ce texte a paru sur ce blog le 30 mai 2006. Profitant de l'entretien réalisé avec Jérôme Garcin dans le n°3 du Magazine des livres dirigé par Joseph Vebret, j'ai estimé que cette note, à la fois par son évocation de Renaud Camus et du lamentable travail de gredin réalisé sur mon livre par Jean-Louis Ezine qui, paraît-il, est un critique littéraire, avait quelque actualité.]
Je puis m'estimer heureux. Lisant le superbe Journal de l'année 2003 de Renaud Camus, Rannoch Moor, je note ces lignes (p. 325), moins accablantes par leur évocation du sentiment de solitude étreignant l'auteur qui vient de publier, comme il le rappelle, quatre livres tout de même, qu'en raison de l'ignominie intellectuelle qu'elles révèlent chez celles et ceux qui, laissant cet écrivain dans un silence qu'il juge scandaleux (et qui l'est, effectivement), ont failli à leur mission qui me semble être cet office de la vigie dont parlait Sainte-Beuve ou, pour le dire plus clairement : l'évocation, même et surtout critique, le coup de chapeau, la salutation adressée aux livres de quelque grandeur : «Lundi 23 juin, neuf heures du soir. Je me serai rarement senti aussi seul, seul... comment dirais-je, non pas intellectuellement, ou littérairement, ou socialement, encore que chacun de ces adverbes renferme en l'occurrence un peu de vérité; non, seul en tant qu'écrivain, si un pareil mot a encore un sens quelconque, à ce degré de solitude et de silence.»
Plusieurs textes ont déjà évoqué mon livre paru récemment aux éditions du Rocher, La Critique meurt jeune. Le premier, comme d'ailleurs dans le cas de La Littérature à contre-nuit : rédigé par Dominique Autié, toujours soucieux des détails et d'une impeccable mise en page, suivi de Raphaël Dargent et de Sarah Vajda sur le site gaulliste, Jeune France, qu'anime mon ami. Je reproduirai dans quelques jours cette fort belle critique de Sarah dans la Zone. D'autres textes, je l'espère [comme ceux de Bruno Gaultier sur son blog ou encore de Christopher Gérard dans un numéro récent de La presse Littéraire], seront mis en ligne sur différents blogs et sites, alors que je ne me fais plus guère d'illusions quant à la publication de critiques sous la plume de journalistes dits professionnels.
Justement, approchons-nous du vaste et bruyant cirque où combattent quelques trop rares rétiaires auxquels le public jette toutes sortes de déchets et où détalent, pour se réfugier dans leur clapier sombre et puant, de très nombreux bouffons. Signalons, pour l'instant, parus dans la presse professionnelle, la recension de Paul-François Paoli pour Le Figaro littéraire et, pitoyable éreintement puant la pauvaise foi et l'inculture journalistique la plus crasse, ces lignes minables signées (sans la moindre honte dirait-on) pour Le Nouvel Observateur par un certain Jean-Louis Ezine, le même qui, il y a quelques jours, sur les ondes de France Culture où il officie, nous a donné, comme un de mes amis, consterné, me l'a malicieusement signalé, une magistrale preuve de son encyclopédique savoir en affirmant que La Soirée avec Monsieur Teste (de Paul Valéry : précision peut-être utile, je vous rappelle que je m'adresse à Ezine) avait paru en 1919. Faisons remarquer à ce cancre insigne que cet ouvrage a été publié quelques années plus tôt, en 1896 tout de même.
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26/03/2007
Babel ou l'oubli des langues
24/03/2007
Spengler l'infréquenté, par Jean-Luc Evard (Infréquentables, 5)
20/03/2007
Le roman frigorifié de William T. Vollmann : Les Fusils
16/03/2007
Au «flambeau de l’analogie». L’œuvre de Maistre éclairant notre époque, par Olivier Bruley (Infréquentables, 4)
08/03/2007
Éloge du voyage de l'âme : L'Inspiration continue de María Zambrano
06/03/2007
Procrastination, par Slobodan Despot

Slobodan Despot dirige les éditions Xenia. Il est également l'auteur d'un blog.
Le mot inscrit en objet [d'un courriel envoyé par S. Despot], cher Juan Asensio, pourrait être la traduction moderne, banalisée et anglosaxonne du nom d'un démon que les Pères de l'Église redoutaient particulièrement : le démon de l'acédie, ou encore démon de midi.
Si je ne vous ai pas répondu depuis deux mois, c'est — l'analyse vous intéressera peut-être — que nos relations étaient bloquées par une écharde minime. Je vous avais promis un texte et ne pouvais ou ne voulais le faire. La Foire du livre de Belgrade comme thermomètre du monde, tout le monde s'en fout. J'avais commencé par évoquer les années où cette foire rassemblait un demi-million de visiteurs (sur un pays de dix millions soumis au blocus), dans une kermesse joyeuse sentant la grillade de porc, la bière et la fumée. Les années Ognjen, ainsi nommées à cause du colossal directeur de l'Association des éditeurs — et donc de la foire —, et dont le prénom signifie «homme de feu». Poète, apparatchik, coureur, noceur, plaisantin... la dolce vita de l'ex-Yougoslavie lui avait valu ses problèmes vasculaires, le délire haineux des années 90 son apoplexie, et la chute de Milosevic, la malemort.